Le couvre-feu en Belgique devient un point de discorde politique – EURACTIV.fr

Vendredi 5 mars, le comité consultatif belge a annoncé de légères assouplissements des mesures COVID-19. Cependant, le couvre-feu en vigueur depuis octobre dernier est resté inchangé.

Récemment, la Wallonie a décidé d’aligner son couvre-feu sur la Flandre, de minuit à 5 heures, qui a quitté la région bruxelloise avec un couvre-feu de 22 heures à 6 heures.

Jan Jambon (N-VA), ministre-président de Flandre, dans un entretien avec la VRT Le septième jour, a qualifié le couvre-feu de « grave violation de notre liberté » et son parti N-VA est maintenant devenu le premier à proposer un projet de loi pour mettre fin au couvre-feu.

« J’espère que le gouvernement fédéral nous laisse une certaine marge de manœuvre à cet égard », a ajouté Jambon. « Le jour où il est question de l’abolir, je suis là-bas. » La discussion a créé des fractures dans la politique belge.

C’est ce qu’a déclaré Georges-Louis Bouchez, président du MR libéral au pouvoir JARDIN que la disposition disparaît « en avril » car il n’y aura pas de couvre-feu à la réouverture du restaurant.

La ministre belge de l’Intérieur Annelies Verlinden (CD&V) n’a jusqu’à présent pas pris de position claire sur la question.

« Le couvre-feu signifie moins de contacts, ce qui signifie moins d’infections et donc moins d’hospitalisations », a-t-il déclaré.

«Mais je suis le premier à remettre en question la taille. Pour le moment, nous devons encore être très prudents. « 

(Alexandra Brzozowski, EURACTIV.com)

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