Il s’agit d’une anomalie statistique qui force le respect et s’inscrit dans la pure logique financière du football moderne.A l’approche de la mi-saison, le classement de la ligue…
Il s’agit d’une anomalie statistique qui fait un pied de nez à la logique purement économique du football moderne.A l'approche de la mi-saison, le classement de la Ligue 1 est intéressant à lire : Angers SCO (après sa victoire contre le FC Nantes) et le RC Strasbourg (avec un match en retard) se côtoient avec 22 points au compteur.Cependant, un douloureux bras de fer financier sépare les deux équipes.
Le club angevin, qui souffre de problèmes financiers, a respecté le marché des transferts en ne déboursant pas un seul euro (0 €) d'indemnités de transfert pour constituer son équipe actuelle.Un sentiment de contrainte qui contraste avec la tactique alsacienne.En effet, sous la supervision de BlueCo, RCSA a investi un montant important de 120 millions d'euros dans ses salariés.Capital plus que celui du Paris Saint-Germain sur la même période, avec un bilan qui est égal à celui du nouvel Angevin.
Si les chiffres ne mentent pas, le mérite de cet exploit revient en grande partie à l’architecte du jeu angevin.L'entraîneur Alexandre Dujeux réalise un tour de force managérial en extrayant l'essence d'une équipe bâtie sans chéquier.Là où Strasbourg compte sur des pépites à prix d'or, le technicien du SCO allie la cohésion collective et la rigueur tactique qui permettent à son équipe de se dépasser chaque week-end.
Les analystes s'accordent à dire que la « dalle angevine » n'a jamais ressemblé à cela.En parvenant à élever son équipe à la hauteur d'un effectif réduit à des millions, Dujeux a prouvé que la valeur du groupe ne se mesure pas toujours à sa note sur Transfermarkt.La colère n’est pas seulement une question d’entretien ;Le club propose des cours de performance pour toute la Ligue 1.
Bien sûr on paie les musiciens à la fin du bal et le RC Strasbourg battra probablement le club angevin.
L'Angevin, souffrant de mauvaises conditions financières, a créé un mercato sans payer le moindre euro (0 €) de frais de transfert pour constituer son effectif actuel.Les comportements coercitifs diffèrent fortement de la stratégie alsacienne.Bien entendu, RCSA, contrôlée par BlueCo, a investi la somme colossale de 120 millions d'euros dans ses salariés.Dans le même temps, un investissement plus important que le Paris Saint-Germain, pour le même bilan comptable que l'Angevin, promu.
Si les chiffres ne mentent pas, le mérite de ce travail revient en grande partie à l’architecte du jeu angevin.Le coach Alexandre Dujeux exerce une fonction managériale puissante en extrayant l'essence d'une organisation créée sans chéquier.Là où Strasbourg s'appuie sur des pépites d'or, le technicien du SCO allie cohésion d'équipe et intensité tactique qui permet à son équipe de se dépasser chaque week-end.
Les analystes s'accordent à dire que la « Plaque angevine » n'a jamais été aussi tangible.Dujeux a réussi à élever son équipe au sommet d'une équipe multimillionnaire, la valeur d'une équipe ne se mesure pas toujours par sa note Transfermarkt.Angers ne joue pas seulement pour le service ;le club donne une leçon d'efficacité à toute la Ligue 1.
Bien sûr, à la fin du bal on paye les musiciens et le RC Strasbourg finira probablement devant le club angevin.Cependant, ce qu’Angers SCO a montré ces dernières semaines est digne de respect.
