Le nom en question, en hébreu, est la conjugaison de la forme féminine pour « mort » à la fois dans le présent et dans le passé, conduisant de nombreux utilisateurs de médias sociaux qui parlent la langue à ridiculiser le changement de marque, conduisant au hashtag « #FacebookDead ».
L’unité israélienne de sauvetage d’urgence Zaka, dont le travail consiste à collecter les restes humains pour assurer des enterrements appropriés, a partagé son point de vue sur le changement de marque la semaine dernière, en tweetant : « Ne vous inquiétez pas, c’est parti. #FacebookDead » en hébreu.
– (@zakaHQ) 28 octobre 2021
D’autres utilisateurs de Twitter ont partagé leur point de vue sur le changement de nom, une personne écrivant qu' »il voulait ouvrir un compte Facebook, mais a déclaré que le site Web était mort maintenant ».
Un autre utilisateur a déclaré que « quelqu’un n’a pas recherché la marque et la traduction ».
En hébreu, * Meta * signifie * Mort *
La communauté juive ridiculisera ce nom pour les années à venir.– Nirit Weiss-Blatt, PhD (@DrTechlash) 28 octobre 2021
La société de médias sociaux a annoncé le changement de nom lors d’une conférence de presse jeudi, où le PDG de Facebook, Mark Zuckerberg, a déclaré que le nouveau nom cherchait à commencer à construire le « métaverse », décrit comme un environnement virtuel partagé qu’il espère être la prochaine grande plate-forme informatique.
Le compte Twitter officiel, bien qu’il ne soit pas pertinent pour la langue hébraïque, a également répondu en plaisantant au changement de nom, déclarant: « BIG NEWS lol jk toujours Twitter ».
BONNE NOUVELLE lol jk encore Twitter
– Twitter (@Twitter) 28 octobre 2021
Zuckerberg, élevé comme un juif réformé, n’a pas répondu au ridicule en ligne.
Ce n’est pas la seule nouvelle controversée récente dans laquelle le conglomérat de médias sociaux s’est retrouvé, car des rapports récents ont confirmé que Facebook n’a pas réussi à contrôler le contenu offensant, les discours de haine, la rhétorique incendiaire et la désinformation sur sa plate-forme. L’entreprise aurait embauché des travailleurs possédant les compétences et les connaissances linguistiques nécessaires pour détecter les messages douteux des utilisateurs du monde entier.
Reuters a contribué à ce rapport.