6 juin 1982, il y a quarante ans : cessez-le-feu des Malouines

Les États-Unis se sont joints à la Grande-Bretagne pour opposer leur veto à une résolution du Conseil de sécurité pour un cessez-le-feu immédiat aux Malouines, mais ont ensuite brusquement changé d’avis en disant qu’ils auraient vraiment dû s’abstenir. Jean Kirkpatrick, l’ambassadeur des États-Unis auprès des Nations Unies, a déclaré aux journalistes que les instructions du secrétaire d’État américain Alexander Haig lui demandant de s’abstenir de voter étaient arrivées trop tard. Une fois que les votes du Conseil de sécurité ont été exprimés, ils ne peuvent plus être modifiés. À Versailles, en France, et les délégations américaines à un sommet économique occidental auquel assistaient Haig, le président américain Ronald Reagan et le Premier ministre britannique Margaret Thatcher ont refusé de commenter. Mais les diplomates britanniques ont déclaré qu’ils étaient étonnés de ce qui s’était passé.

Tension en J&K

La tirade anti-centre lancée par le Premier ministre du Jammu-et-Cachemire, Sheikh Mohammad Abdullah, au sujet du projet de loi controversé sur la réinstallation suscite de vives inquiétudes au sein du gouvernement de l’Union et les développements dans l’État sont suivis de près. Le Centre a rapporté que le parti au pouvoir dans l’État a organisé une offensive de propagande systématique contre le Centre et qu’il est possible que le Cheikh se rende aux urnes en faisant le « design » pour maintenir cet élan. Les élections à l’Assemblée nationale, dont le mandat a été prolongé à six ans au lieu de cinq, sont prévues pour juin prochain. Mais le Centre a le sentiment que le cheikh pourra se rendre aux urnes d’ici septembre.

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Stand au sommet

La France et les États-Unis semblaient se diriger vers une confrontation sur les deux principales questions économiques qui dominaient le sommet des sept nations : la coopération monétaire et le crédit à l’Union soviétique. Alors que les dirigeants de la France, des États-Unis, de la Grande-Bretagne, du Canada, de l’Italie, du Japon et de l’Allemagne de l’Ouest discutaient de l’avenir des nouvelles technologies, leurs ministres engageaient des négociations sur les interventions de change et les crédits à l’exportation. La France et d’autres pays d’Europe occidentale veulent que les États-Unis stabilisent le dollar, ce que l’administration Reagan a refusé d’accepter. Reagan veut que l’Europe occidentale se joigne à la hausse du coût des crédits de vente industriels à l’Union soviétique, ce à quoi la France a jusqu’à présent résisté.

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